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Tim Cockey et la Toile

Cette fois, je vais vous parler d’un auteur qui ne déplace pas des montagnes, qui ne postule pas au titre de plus grand auteur de sa génération dans son genre, non, je vais vous parler d’un auteur qui nous a proposé une œuvre sympathique, distrayante. C’est d’ailleurs parfois tout ce que l’on demande à un livre. Tim Cockey pourrait être notre voisin (enfin pas le mien, disons plutôt le vôtre parce que le mien… mais ça n’est pas le sujet), ce type qui vous dit bonjour avec le sourire, qui vous donne envie de rire parfois avec ses bons mots peut-être un peu faciles mais si drôles (bon, c’est vrai, je fantasme sûrement un peu sur le voisin, mais faut dire que mes références. Non, j’ai dit non, je ne glisserai pas sur cette pente !). Bref, Cockey nous a offert une série distrayante avant de passer à autre chose…

Je trouve cette série agréable. La série du croque-mort Hitchcock Sewell, tout un programme. Je le concède, « agréable » n’est pas à franchement parler un compliment que l’on recherche quand on écrit, mais la sienne l’est, agréable, et, j’ose le croire, sans prétention.

Avec tout ça, cet humour qui est le sien et tout le reste, on pourrait s’attendre à ce que ses polars légers aient fait leur trou, à ce que le monsieur, ce monsieur Cockey, soit assez présent sur les différents sites. Aussi, quelle ne fut pas ma surprise de constater qu’il n’était pas très visible sur la Toile française… Voilà pourquoi je parle de lui, pourquoi je vais feuilleter son œuvre avec vous dans quelques jours et pourquoi je vais parcourir rapidement les endroits où il est évoqué en ligne.

Polars pourpres nous propose une biographie de l’écrivain, ici, aussi succincte que ce que Wikipédia nous en dit. Il faut aller voir du côté de Polars au féminin pour trouver un article plus étoffé ou lire ce que j’avais tenté de dire du monsieur sur Pol’Art Noir. Et c’est à peu près tout… Si vous voulez aller plus loin, il vous faudra reprendre votre anglais et l’approfondir en visitant le site de Cockey qui est ce qui nous est donné de plus fouillé sur le romancier, avec quelques souvenirs assez drôles sur ses débuts dans l’écriture.

Je vous parlerai très prochainement de ma rencontre avec sa série.

3 réflexions sur “Tim Cockey et la Toile

  1. Salut Jérôme, Il va falloir que je retrouve un article que j’avais consacré aux croquemorts, et qui ne figure plus dans mes « Billets polars » sur bibliopoche.com… J’y évoquais entre autre cet auteur et son héros. Tu as raison de le placer parmi les authentiques auteurs de romans noirs. Bien sûr, une part de dérision est de mise dans ces histoires. Mais, d’après ce que j’ai lu, la noirceur est tout autant présente. Pour espérer une consécration, sans doute eût-il fallu quelque étiquette labellisée, un Prix dûment estampillé par je ne sais quelle autorité, ou une promo percutante dans les médias adéquats. Difficile quand le héros tient un salon funéraire de dire : un auteur immortel ! Tim Cockey, encore un auteur à re-valoriser, tu as raison ! Amitiés.

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  2. Pingback: Tim Cockey et ma bibliothèque | Moeurs Noires

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