Amila, Jean :
– Y’a pas de bon Dieu !. Paris, Gallimard, 1950 (sous le pseudonyme John Amila)
– Motus !. Paris, Gallimard, 1953 (sous le pseudonyme John Amila)
– La bonne tisane. Paris, Gallimard, 1955 (sous le pseudonyme John Amila)
– Sans attendre Godot. Paris, Gallimard, 1956 (sous le pseudonyme John Amila)
– Les loups dans la bergerie. Paris, Gallimard, 1959
– Le drakkar. Paris, Gallimard, 1959
– Jusqu’à plus soif. Paris, Gallimard, 1962
– Langes radieux. Paris, Gallimard, 1963
– Pitié pour les rats. Paris, Gallimard, 1964
– La lune d’Omaha. Paris, Gallimard, 1964
– Noces de soufre. Paris, Gallimard, 1964
– Les fous de Hong-Kong. Paris, Gallimard, 1969
– Le grillon enragé. Paris, Gallimard, 1970
– La nef des dingues. Paris, Gallimard, 1972
– Contest-flic. Paris, Gallimard, 1972
– Terminus Iéna. Paris, Gallimard, 1974
– A qui ai-je l’honneur ?…. Paris, Gallimard, 1974
– Le pigeon des faubourgs. Paris, Gallimard, 1981
– Le boucher des Hurlus. Paris, Gallimard, 1982
– Le chien de Montargis. Paris, Gallimard, 1983
– Au balcon d’Hiroshima. Paris, Gallimard, 1985
Bartelt, Franz :
– Les fiancés du Paradis. Paris, Gallimard, 1995
– La chasse au grand singe. Paris, Gallimard, 1996
– Le costume. Paris, Gallimard, 1998
– Simple. Paris, Mercure de France, 1999
– Massacre en Ardennes. Bruxelles, Quorum, 1999
– Les bottes rouges. Paris, Gallimard, 2000
– Le Grand Bercail. Paris, Gallimard, 2002
– Charges comprises. Paris, Gallimard, 2003
– Le jardin du bossu. Paris, Gallimard, 2004
– Terrine Rimbaud. Blandain-Tournai, L’Estuaire, 2004
– Liaison à la sauce. Spa, Galopin, 2005
– La beauté maximale. Spa, Galopin, 2005
– Teddy. Frontignan, 6 pieds sous terre, 2005
– Chaos de famille. Paris, Gallimard, 2006
– La belle maison. Paris, Le Dilettante, 2008
– Les nœuds. Paris, Le Dilettante, 2008
– Nadada. La Branche, 2008
– Je ne sais pas parler. Bordeaux, Finitude, 2010
– Parures. Serres-Morlaàs, L’atelier in8, 2010
– La fée Benninkova. Paris, Le Dilettante, 2011
– Le testament américain. Paris, Gallimard, 2012
– Facultatif bar. D’un noir si bleu, 2012
– La bonne a tout fait. Baleine, 2013
– Le fémur de Rimbaud. Paris, Gallimard, 2013
– Depuis qu’elle est morte elle va beaucoup mieux. Paris, éditions du Sonneur, 2015
– Hôtel du Grand Cerf. Paris, Le Seuil, 2017
– Ah, les braves gens ! Paris, Le Seuil, 2019
– Un flic bien trop honnête. Paris, Seuil, 2021
Behm, Marc :
– La Reine de la nuit. Paris, Sombres Crapules, 1989
(traduit par Nathalie Godard de : The Queen of the Night. New York, Avon, 1978)
– Mortelle randonnée. Paris, Gallimard, 1981
(traduit par Rosine Fitzgerald de : The Eye of the Beholder. New York, Dial Press, 1980)
– La Vierge de glace. Paris, Gallimard, 1982
(traduit par Rosine Fitzgerald de : The Ice Maiden. Londres, Zomba Books, 1983)
– Trouille. Paris, Sombres Crapules, 1990
(traduit par Nathalie Godard de : Afraid to Death. Harpenden, No Exit, 2000)
– A côté de la plaque. Paris, Rivages, 1992
(traduit par Nathalie Godard de : Off the Wall)
– Et ne cherche pas à savoir. Paris, Rivages, 1993
(traduit par Gérard de Chergé de : Seek to Know no More)
– Crabe. Paris, Payot & Rivages, 1994
(traduit par Gérard de Chergé de : Crabs)
– Tout un roman !. Paris, Payot & Rivages, 1997
(traduit par Gérard de Chergé de : Dime Novel)
Blacksad :
– Diaz Canales, Juan et Guarnido, Juanjo, Quelque part entre les ombres. Paris, Dargaud, 2000
– Diaz Canales, Juan et Guarnido, Juanjo, Arctic-Nation. Paris, Dargaud, 2003
– Diaz Canales, Juan et Guarnido, Juanjo, Âme Rouge. Paris, Dargaud, 2005 (traduction d’Anne-Marie Ruiz)
– Diaz Canales, Juan et Guarnido, Juanjo, L’Enfer, le silence. Paris, Dargaud, 2010 (traduction d’Anne-Marie Ruiz)
– Diaz Canales, Juan et Guarnido, Juanjo, Amarillo. Paris, Dargaud, 2013 (traduction d’Anne-Marie Ruiz)
Cage, David :
– The Nomad Soul. Paris, Quantic Dream, 1999
– Farenheit. Paris, Quantic Dream, 2005
– Heavy Rain. Paris, Quantic Dream, 2010
– Beyond : two souls. Paris, Quantic Dream, 2013
Cain, Paul :
– A tombeau ouvert. Paris, Gallimard 1949
(traduit par Jacques-Laurent Bost et Marcel Duhamel de : Fast One. Garden City, Doubleday, Doran & Co., 1933)
– Sept tueurs. Paris, Gallimard, 1955
(traduit par Henri Robillot de : Seven Slayers. Hollywood, Saint Enterprises, 1946)
Choderlos de Laclos, Pierre :
– Les liaisons dangereuses. Durand Neveu, 1782
Chevalier, Séverine :
– Recluses. La Croisille-sur-Briance, Ecorce, 2011
– Clouer l’Ouest. La Croisille-sur-Briance, Ecorce, 2014
– Les Mauvaises. Paris, La Manufacture des Livres, 2018
Cockey, Tim :
– Le croque-mort a la vie dure. Paris, Alvik, 2004
(traduit par Claire Breton de : The hearse you came in on. Hyperion, 2000)
– Le croque-mort préfère la bière. Paris, Alvik, 2004
(traduit par Claire Breton de : Hearse of a different color. Hyperion, 2001)
– Le croque-mort à tombeau ouvert. Paris, Alvik, 2005
(traduit par Claire Breton de : The hearse case scenario. Hyperion, 2002)
– Le croque-mort est bon vivant. Paris, Alvik, 2005
(traduit par Claire Breton de : Murder in the hearse degree. Hyperion, 2003)
– Le croque-mort enfonce le clou. Paris, Alvik, 2006
(traduit par Claire Breton de : Backstabber. Hyperion, 2004)
Colize, Paul :
– Les sanglots longs. Seff, 2001
– Le seizième passager. Seff, 2002
– Clairs obscurs. Seff, 2003
– Quatre valets et une dame. Seff, 2005
– Sun Tower. Bruxelles, MMS, 2007
– La troisième vague. Bihorel, Krakoën, 2009
– Le baiser de l’ombre. Bihorel, Krakoën, 2010
– Le valet de cœur. Bihorel, Krakoën, 2011
– Back up. Paris, La Manufacture de Livres, 2012
– Un long moment de silence. Paris, La Manufacture de Livres, 2013
– L’avocat, le nain et la princesse masquée. Paris, La Manufacture de Livres, 2014
– Concerto pour 4 mains. Paris, Fleuve Noir, 2015
Cook, Robin :
– Crème anglaise. Paris, Gallimard, 1966
(traduit par F.M. Watkins et Marcel Duhamel de : The crust on its uppers. 1962)
– Bombe surprise. Paris, Joëlle Losfeld, 1993
(traduit par Jean Esch de : Bombe surprise. 1963)
– Vices privés, vertus publiques. Paris, Terrain Vague, 1990
(traduit par Jean-Paul Gratias de : Public parts and private places. 1967)
– Quelque chose de pourri au royaume d’Angleterre. Paris, Payot et Rivages, 2003
(traduit par Jean-Paul Gratias de : A state of Denmark. 1970)
– La rue obscène. Paris, Rivages, 1992
(traduit par Jean-Paul Gratias de : The tenants of Dirt Street. 1971)
– Le soleil qui s’éteint. Paris, Gallimard, 1983
(traduit par R. Fitzgerald de : Sick Transit)
– Il est mort les yeux ouverts. Paris, Gallimard, 1983
(traduit par Jean-Bernard Piat de : He died with the eyes open. 1984)
– Les mois d’avril sont meurtriers. Paris, Gallimard, 1984
(traduit par Jean-Bernard Piat de : The devil’s home on leave. 1985)
– Comment vivent les morts. Paris, Gallimard, 1986
(traduit par Jean-Bernard Piat de : How the dead live. 1986)
– Cauchemar dans la rue. Paris, Rivages, 1988
(traduit par Jean-Paul Gratias de : Nightmare in the street. 2006)
– J’étais Dora Suarez : un roman en deuil. Paris, Rivages, 1990
(traduit par Jean-Paul Gratias de : I was Dora Suarez. 1990)
– Le mort à vif. Paris, Payot et Rivages, 1993
(traduit par Jean-Paul Gratias de : Dead Man Upright. 1993)
– Quand se lève le brouillard rouge. Paris, Payot et Rivages, 1994
(traduit par Jean-Paul Gratias de : Not till the red fog rises. 1994)
Crews, Harry :
– Le chanteur de Gospel. Paris, Gallimard, 1995
(traduit par Nicolas Richard de : The Gospel singer. New York, William Morrow, 1968)
– Nu dans le jardin d’Eden. Paris, Sonatine, 2013
(traduit par Patrick Raynal de : Naked in Garden Hills. New York, William Morrow, 1969)
– Les portes de l’Enfer. Paris, Sonatine, 2015
(traduit par Patrick Raynal de : This thing don’t lead to Heaven. New York, William Morrow, 1970)
– Car. Paris, Albin Michel, 1974
(traduit par Maurice Rambaud de : Car. New York, William Morrow, 1972)
– Le faucon va mourir. Paris, Gallimard, 2000
(traduit par Francis Kerline de : The hawk is dying. New York, Knopf, 1973)
– La malédiction du gitan. Paris, Gallimard, 1993
(traduit par Philippe Garnier de : The Gypsy’s curse. New York, Alfred A. Knopf, 1974)
– La foire aux serpents. Paris, Gallimard, 1994
(traduit par Nicolas Richard de : A Feast of Snakes. Atheneum, 1976)
– Des mules et des hommes : Une enfance un lieu. Paris, Gallimard, 1997
(traduit par Philippe Garnier de : A childhood : The biography of a place. New York, Harper & Row, 1978)
– Le roi du K.O. Paris, Gallimard, 1999
(traduit par Nicolas Richard de : The knockout artist. New York, Harper & Row, 1988)
– Body. Paris, Gallimard, 1994
(traduit par Philippe Rouard de : Body. New Yok, Poseidon, 1990)
– Des savons pour la vie. Paris, Gallimard, 2004
(traduit par Nicolas Richard et révisé par Béatrice Durupt de : The mulching of America. New York, Simon & Schuster, 1995)
Pingback: Jean Amila, derniers romans, chiens et champignons | Moeurs Noires
Pingback: Amila sur fond de Toile | Moeurs Noires
Pingback: Paul Colize entoilé | Moeurs Noires
Pingback: Amila bouscule encore | Moeurs Noires
Pingback: Paul Colize et Hugues Tonnon, de Bruxelles à Paris via l’Afrique du Sud, le Maroc et l’Algérie | Moeurs Noires
Pingback: Harry Crews sur mes étagères | Moeurs Noires
Pingback: Harry Crews, George Gattling et l’affaitage | Moeurs Noires
Pingback: Harry Crews, Shereel Dupont et les Turnipseed au Blue Flamingo | Moeurs Noires
Pingback: Harry Crews, Hickum Looney, Ida Mae et Le Chef | Moeurs Noires
Pingback: Franz Bartelt, Nicolas Tèque et Vertigo Kulbertus à Reugny | Moeurs Noires
Pingback: Marc Behm, Fecunditatis à la lutte pour l’Incal Vert et sa survie | Moeurs Noires