Sallis, James :
– Le faucheux. Paris, Gallimard, 1998
(traduit par Jeanne Guyon et Patrick Raynal de : The long-legged fly. New York, Carroll and Graf, 1992)
– Papillon de nuit. Paris, Gallimard, 2000
(traduit par Elisabeth Guinsbourg avec Stéphanie Estournet de : Moth. New York, Carroll and Graf, 1993)
– Le frelon noir. Paris, Gallimard, 2001
(traduit par Elisabeth Guinsbourg avec Stéphanie Estournet de : Black Hornet. New York, Carroll and Graff, 1996)
– La mort aura tes yeux. Paris, Gallimard, 1999
(traduit par Elisabeth Guinsbourg de : Death will have your eyes. New York, St Martins, 1996)
– L’œil du criquet. Paris, Gallimard, 2003
(traduit par Isabelle Maillet et Patrick Raynal de : Eye of the cricket. New York, Waker & Co., 1997)
– Bluebottle. Paris, Gallimard, 2005
(traduit par Isabelle Maillet de : Bluebottle. New York, Walker & Co., 1999)
– Bête à bon dieu. Paris, Gallimard, 2005
(traduit par Stéphanie Estournet et Sean Seago de : Ghost of a flea. New York, Walker & Co., 2001)
– Bois mort. Paris, Gallimard, 2006
(traduit par Stéphanie Estournet et Sean Seago de : Cypress Grove. New York, Walker & Co., 2003)
– Drive. Paris, Rivages & Payot, 2006
(traduit par Isabelle Maillet de : Drive. Scottsdale, Poisoned Pen, 2005)
– Cripple Creek. Paris, Gallimard, 2007
(traduit par Stéphanie Estournet et Sean Seago de : Cripple Creek. New York, Walker & Co., 2005)
– Salt River. Paris, Gallimard, 2010
(traduit par Isabelle Maillet de : Salt River. New York, Walker & Co., 2007)
– Le tueur se meurt. Paris, Payot & rivages, 2013
(traduit par Christophe Mercier et Jeanne Guyon de : The killer is dying. New York, Walker & Co., 2011)
– Driven. Paris, Payot & Rivages, 2013
(traduit par Hubert Tézenas de : Driven. Scottsdale, Poisoned Pen, 2012)
– Willnot. Paris, Payot & Rivages, 2019
(traduit par Hubert Tézenas de : Willnot. New York, Bloomsbury, 2016)
Salter, James :
– Pour la gloire. Paris, L’Olivier, 2015
(traduit par Philippe Garnier de : The Hunters. New York, Harpers & Brothers, 1957)
– Cassada. Paris, L’Olivier, 2001
[traduit par Jean-François Ménard de : Cassada. Berkeley, Counterpoint, 2000
(réécriture de The arm of flesh. New York, Harpers & Brothers, 1961)]
– Un sport et un passe-temps. Paris, L’Olivier, 1996
(traduit par Philippe Garnier de : A sport and a pastime. New York, Doubleday, 1967)
– Un bonheur parfait. Paris, L’Olivier, 1997
(traduit par Lisa Rosenbaum et Anne Rabinovitch de : Light Years. New York, Random House, 1975)
– L’homme des hautes solitudes. Paris, Denoël, 1981
(traduit par Antoine Deseix de : Solo Faces. Boston, Little, Brown and Company, 1979)
– Une vie à brûler. Paris, L’Olivier, 1999
(traduit par Philippe Garnier de : Burning the days. New York, Random House, 1997)
– Et rien d’autre. Paris, L’Olivier, 2014
(traduit par Marc Amfreville de : All that is. New York, Knopf, 2013)
Sayers, Dorothy L. :
– Lord Peter et l’inconnu. Paris, Librairie des Champs-Elysées, 1939
(traduit par L. Sevicen de : Whose Body ? Londres, Fisher Unwin, 1923)
– Trop de témoins pour Lord Peter. Paris, Librairie des Champs-Elysées, 1954
(traduit par Roger Loriot (1948) sous le titre Le Duc est un assassin puis par Clarisse Fremiet de : Clouds of Witness. Londres, Fisher Unwin, 1926)
– Arrêt du cœur. Paris, La Nouvelle revue critique, 1938
(traduit par S. Lechevrel de : Unnatural Death. Londres, Ernest Benn, 1927 (puis par Léo Vallin sous le titre L’autopsie n’a rien donné. Paris, Londres, Morgan, 1947))
– Lord Peter devant le cadavre. Paris, Librairie des Champs-Elysées, 1934
(traduit par Marie Gally de : Lord Peter Views the Body. Londres, Gollancz, 1928)
– Lord Peter et le Bellona Club. Paris, Librairie des Champs-Elysées, 1935
(traduit par Marie Mavraud de : The Unpleasantness at the Bellona Club. Londres, Ernest Benn, 1928)
– Les pieces du dossier. Paris, Librairie des Champs-Elysées, 1947
(traduit par Yvonne Paraf de : The Documents in the Case. Londres, Ernest Benn, 1930)
– Poison violent. Paris, J’ai lu, 1984
(traduit par Perrine Vernay (1947) sous le titre Lord Peter détective puis par France-Marie Watkins de : Strong Poison. Londres, Gollancz, 1930)
– Les cinq fausses pistes. Paris, Librairie des Champs-Elysées, 1954
(traduit par Marthe Chaumié (1947) sous le titre Lord Peter en Ecosse, puis par Henri Thies de : Five Red Herrings. Londres, Gollancz, 1931)
– Le mort de la falaise. Paris, J’ai lu, 1985
(traduit par Maurice Bernard Endrèbe, d’abord sous le titre Lord Peter et le mort du 18 juin (1973), de : Have his Carcase. Londres, Gollancz, 1932)
– Lord Peter et l’autre. Paris, Librairie des Champs-Elysées, 1935
(traduit par Marie Mavraud de : Murder Must Advertise. Londres, Gollancz, 1933)
– Les neuf tailleurs. Paris, Librairie des Champs-Elysées, 1957
(traduit par Miriam Dou de : The Nine Tailors. Londres, Gollancz, 1934)
– Le cœur et la raison. Lille, Presses Universitaires du Septentrion, 2012
(traduit par Daniel Verheyde de : Gaudy Night. Londres, Gollancz, 1935)
– Noces de crime. Paris, J’ai lu, 1986
(traduit par France-Marie Watkins de : Busman’s Honeymoon. Londres, Gollancz, 1937)
Swierczynski, Duane :
– A toute allure. Paris, Payot & Rivages, 2011
(traduit par Sophie Aslanides de The Wheelman. New York, St Martin’s Minotaur, 2005)
– The Blonde. Paris, Payot & Rivages, 2010
(traduit par Sophie Aslanides de The Blonde. New York, St Martin’s Minotaur, 2006)
– Mort à tous les étages. Paris, Payot & Rivages, 2015
(traduit par Sophie Aslanides de Severance Package. New York, St Martin’s Minotaur, 2008)
– Date limite. Paris, Payot & Rivages, 2014
(traduit par Sophie Aslanides de Expiration Date. New York, Minotaur Books, 2010)
– Canari. Paris, Payot & Rivages, 2017
(traduit par Sophie Aslanides de Canary. New York, Mulholland Books, 2015)
– Revolver. Paris, Payot & Rivages, 2020
(traduit par Sophie Aslanides de Revolver. New York, Mulholland Books, 2016)
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